Livre 2 sciences et philosophie

Un livre court pour débattre de sciences et de philosophie

Ashiwanzô

Ashiwanzô, est un terme que j’ai inventé. Cela nomme l’espace de pensée scientifique et philosophique, dans lequel chacun peut émettre des idées et des théories nouvelles dans le but de faire avancer l’humanité vers un futur meilleur et progresser dans la compréhension de l’Univers.

Au cours de mes lectures, j’ai noté que bon nombre de scientifiques s’interdisaient d’évoquer leurs propres avis sur des sujets à la limite de la science. Soit qui ne relèvent pas de la science soit qui n’ont pas pu être expliqués ou analysés scientifiquement.

Ashiwanzô propose un espace de liberté d’expression. Les sciences et la philosophie doivent pouvoir être débattues sans pression, sans contraintes, et sans obligation d’être absolument exacte. Bien sur l’exactitude et la précision sont fondamentales en sciences. Mais dans l’espace Ashiwanzô il est possible d’avancer des idées non prouvées, basées sur l’instinct ou l’imagination. Cela peut désorienter certains mais permettre à d’autres de pouvoir enfin s’exprimer et apporter leur contribution. Ensuite si la science trouve une idée intéressante, pertinente ou louable dans Ashiwanzô, elle peut l’étudier dans le domaine scientifique strict.

C’est dans le cadre d’Ashiwanzô que je vais, via ces textes, proposer mes idées et théories.

Sommaire

■ Le Cosmos des Gémeaux
■ L’Évolution d’Andromède
■ Les Codes de la Lyre
■ La Clé d’Orion

■ Le Cosmos des Gémeaux

Le réel. Nous vivons dans le réel. Nous sommes conscients de nous même et nous sommes conscients de l’existence des autres. Cet ensemble de nous, vit sur une planète dans l’univers, la Terre. Nous voyons le jour grâce au soleil, une étoile énorme par rapport à la Terre mais petite par rapport aux autres étoiles. Autour de notre système solaire se trouve l’Univers. Mais notre système solaire n’est pas le centre de l’Univers, il n’est même pas le centre de la voix lactée.

La voie lactée est la galaxie sur laquelle nous nous trouvons. Elle est grande de 120 000 années-lumière. Et une année-lumière, est égale à 9 460 730 472 580,8 km. Il y a 400 milliards d’étoiles comme le soleil, dans la voie lactée. Et des galaxies comme la voie lactée il y en a plus de 100 000 milliards dans l’Univers. L’ensemble de la galaxie se déplace à 600 km/s. Les éléments les plus lointains du centre se déplacent à 220 km/s. Les vitesses constantes de la voie lactée sont en contradictions avec les lois de Kepler. Ce qui poussa les scientifiques a imaginer l’existence d’une matière noire.

Dans cet Univers immense nous sommes un peu perdus face à la violence de la réalité. Exister et être vivant sont certes des privilèges mais ils nous obligent à tenter de comprendre pourquoi nous même nous existons. Et d’un coup on angoisse à l’idée de vivre cette courte vie sans aucun repère. Bien sûr on s’est habitué au réel. La vie dans l’univers nous semble évidente, mais elle ne l’est pas. Le fait de pouvoir lire ce texte prouve que vous êtes doués de facultés complexes et d’une intelligence certaine. Mais l’intelligence ne va pas de soi. Le fait que des amas de matière ne soient pas inertes. Le fait que nous et les animaux évoluons, qu’on bouge, qu’on communique et qu’on réfléchisse ça ne va pas de soi. Le réel est donc un espace où l’intelligence peut exister. Et d’ailleurs à l’instant présent l’intelligence existe bel et bien. Donc le réel abrite la vie, l’intelligence et l’évolution.

Ce qui compose la matière liquide, solide ou gazeuse, ce sont les atomes. L’atome d’hydrogène est fait d’un noyau composé d’un proton et d’un neutron reliés entre eux grâce à la force d’interaction forte une des quatre forces fondamentales. L’électron gravite autour du noyau fait d’un proton et d’un neutron. L’électron est maintenu au sein de l’atome grâce à la force électromagnétique une deuxième force fondamentale. L’électron, le neutron et le proton sont des particules composées de quarks. Mais les particules qui composent l’atome ne répondent pas aux exigences de la physique classique. Car leur comportement est « bizarre ». il est très difficile avec des expériences de définir de façon exacte à la fois leur vitesse et leur trajectoire ensemble. Et alors que certaines particules ne devraient pas passer des barrières énergétiques, parfois elles les passent malgré tout. Pour expliquer les comportements des particules subatomiques on s’en remet aux probabilités et on entre dans la physique quantique.

Les éléments subatomiques sont en fait des cordes. Des cordes qui vibrent pouvant être étirées comme des élastiques avec tension et forme originelle. Ce sont à la fois les éléments les plus petits et les plus grands. La lumière et le son sont des ondes et donc des cordes même si on peut d ébattre de si la lumière est une onde ou un corpuscule. Ce sont des cordes. Les cordes n’ont pas d’autre relief dimensionnel que leur longueur. En fait les cordes sont à la fois la matière et à la fois l’énergie.

Les particules faites de cordes sont la frontière entre le réel et l’irréel.

Nous parlions tout à l’heure de réel que nous percevions grâce à nos sens. Que ce soit par le toucher, la vue, l’ouïe, le goût et l’odorat, tout nous pousse à admettre que le palpable est bien réel.

Maintenant j’apporte ma théorie. L’Univers est réel mais il est né d’un paradoxe irréel. Une « dimension » infinie et illimitée car irréelle. L’Éoza. Dans l’Éoza, tout est possible. Les lois sont différentes du réel. Et parce que tout est possible, à un moment l’Univers a été créé.

Les cordes qui composent la matière sont, en fait, des lignes de codes. L’Univers est une création vivante, métaphysique, métapsychologique et construite comme un programme informatique par l’Éoza. L’univers fût à la fois créé par hasard et à la fois il ne pouvait pas, ne pas être.

La naissance de l’Univers est une histoire fascinante. Un cube de matière pure de 1 cm³ est apparue dans le réel il y a 13,8 milliards d’années. Au moment où ce cube naquît de l’Éoza, le temps trouva son origine liée à l’apparition de la matière et donc de l’espace dans un réel, au départ, vide de toute forme. Puis quelques secondes après l’apparition de ce condensé de matière, celui-ci implosa et la déflagration fût une explosion primitive qui étendit la matière en énergie dense et extrêmement chaude. Dans un premier temps l’énergie n’était qu’un nuage de particules primitives puis les particules s’assemblèrent sous l’effet des forces fondamentales. La matière se forma à mesure que l’Univers s’étendit et que sa température baissa. L’explosion première qui transforma le cube de matière pure en nuage de particule, c’est le big bang.

Aux premiers instants il n’y avait qu’un nuage de gaz primitif très chaud. Puis le temps a passé et les particules se sont assemblées pour former des éléments de matière complexes. Et naquirent des nébuleuses. Puis les nébuleuses se rassemblèrent sous l’effet de la force de gravitation, la troisième force fondamentale. Attirées, les nébuleuses formèrent des étoiles qui sous leurs implosions formèrent des planètes.

Au départ tous les éléments constitutifs de la matière sont semblables. L’hydrogène, l’or, le carbone et les éléments connus du
tableau périodique des éléments, tout est fait d’un atome composé de protons, de neutrons et d’électrons. Ce qui différencie les éléments c’est la quantité strict de particules dans leur atome, le nombre de neutrons, protons et électrons.

Les particules se désintègrent radio-activement sous l’effet de l’interaction faible. La quatrième force fondamentale. De mon point de vue dans Ashiwanzô, l’interaction faible est due à la tension des cordes qui tentent de retrouver leur forme initiale primitive. La matière qui compose l’Univers se détruit d’elle-même car les cordes vibrent jusqu’à ce qu’un jour elle ne vibrent plus du tout et se trouvent inertes. La mort de la matière est liée à la nature même des composants de celle-ci. Les lois qu’exercent le réel sur ces cordes irréellement créées est irrévocable, ce qui existe doit mourir.

Il existe une onde qui étend l’univers depuis son origine. C’est « l’onde du big bang » ou fond diffus cosmologique. Cette onde maintient 3 degrés de plus que le zéro absolu (-273°) dans l’Univers.

L’Univers est réel car il est palpable mais il est en même temps fait de cordes créées dans l’irréel. C’est l’encodage des cordes extrêmement complexe qui caractérise les sensations de concret que nous observons. Admettons que l’Univers dans le réel que nous voyons est issu de composant provenant de l’irréel. Dans ce cas ce qui forme les cordes, et donc la matière, ce sont des scripts. Donc, de l’information, donc de l’intelligence.

Et là nous arrivons au point crucial. Car tout à l’heure, je disais que l’intelligence n’allait pas de soi. Certes, dans le réel, où le concret se rapproche d’une pierre froide et dure, il semblait surprenant que nous soyons intelligents. Mais si toute la matière est composée de scripts d’informations codées, alors… C’est l’inverse de nos sensations. Tout est intelligence. Et c’est le concret qui ne va pas de soi dans l’Univers où nous vivons. Les deux, intelligence abstraite et matière concrète, coexistent pourtant. Et tout est parfaitement harmonieux.

Allons plus loin. Cherchons au delà du confort.

Partons de cette hypothèse. Les cordes, et donc, les particules, sont codées. Alors, quel est ce code ? Comment est-il écrit ?

Il faut voir l’Univers d’un nouveau point de vue.

Donnons un exemple :

Quatre morceaux de bois vissés à égale distance sous un disque de bois. On peut lire cet objet sous différents points de vue.

Point de vue spectateur. Celui-ci va voir l’objet comme un tabouret sur lequel il peut s’asseoir.

Point de vue du créateur. Celui-ci va le voir selon les matériaux utilisés, ou selon le travail et les techniques utilisées, ou selon le prix des matériaux et des outils.

Il y a celui qui peint et celui qui voit le tableau. Le coté naïf et émotionnel et le coté technique et maîtrise. Pour l’Univers c’est la même chose. On peut le voir comme spectateur ou coté créateur en le décryptant minutieusement et méticuleusement.

L’Univers coté recto utilisateur

L’Univers coté verso créateur

C’est dans cette optique que Ashiwanzô me semble à ce niveau indispensable pour chercher le code. Il faut énormément d’imagination pour voir le monde coté verso créateur et anticiper quel pourrait être le langage des scripts des codes. La science fondamentale ne suffit pas à expliquer ce que sont concrètement les cordes et quelles sont leurs lois naturelles. Car l’infiniment petit est régis par des lois irréelles, prédites par la physique quantique dans des ensembles de possibilités hasardeuses. Mais ces particules ne correspondent pas aux lois physiques du réel. On peut donc dire que la physique quantique s’applique à l’irréel. En tout cas elle prédit les comportements d’objets provenant de l’irréel. Et il faudra s’habituer à cette dénomination.

■ L’évolution d’Andromède

Lorsque le soleil chauffe comme il le fait en permanence, il crée dans ses couches superficielles et dans son champs énergétique, de la matière sous forme d’atomes plus ou moins complexes. Donc entre le soleil et l’espace vide il y a des couches de températures variables qui forgent la matière. L’eau, les protéines, etc. Ensuite le soleil propulse ces éléments grâce à des irruptions solaires et des vents solaires. Les éléments de base atterrissent alors sur les planètes du système solaire. Dans le système solaire il y a la Terre et sur elle, l’eau peut être liquide.

Comme la Terre a une température viable, l’eau accumulée forme des océans. Sur ces océans sont posés des protéines, du carbone et du méthane en provenance du soleil. Il a suffit d’un éclair sur la mer pour donner vie à ces agglomérations de matières premières constitutives de la vie. Car rappelez-vous tout est intelligence. Donc même si la fenêtre d’apparition de la vie est relativement restreinte puisqu’il faut de l’eau à l’état liquide, le réel permet l’apparition de créatures vivantes autonomes. D’abord des algues bleues unicellulaires. Elles produisent de l’oxygène en absorbant la lumière solaire et le gaz carbonique expulsé par des volcans. Ces algues sont des créatures ultra primitives qui peuvent créer l’oxygène grâce à la chlorophylle. Ensuite la vie va se complexifier.

Il y a deux étapes fascinantes dans l’évolution de la vie, c’est d’abord le cannibalisme cellulaire puisque des cellules se sont mises à manger d’autres cellules et créèrent ainsi le règne des carnivores ; et l’apparition d’être multi-cellulaires. Comment une cellule est-elle devenue ensuite un amas cellulaire, puis un mollusque ou un poisson ou une crevette ? Et comment des êtres aussi ridicules ont pu évoluer ?

Selon moi l’Univers est intelligent et il transmet ses idées via la lumière du soleil et les neutrinos qui peuvent traverser tous les corps et tous les océans. Seule une supernova qui s’effondre peut retenir des neutrinos. Grâce à ces particules l’Univers peut, d’étoiles en étoiles, envoyer des instructions aux êtres vivants afin qu’ils évoluent dans telles ou telles directions génétiques.

La flore, l’ensemble des plantes, apparut sur la terre ferme il y a fort longtemps et créa tout l’oxygène qui est aujourd’hui présent dans l’atmosphère.

Ensuite les animaux vinrent des océans sur terre lorsque l’oxygène fût abondant dans l’air.

Pour bouger ou évoluer, une cellule doit absorber de l’énergie. Pour créer cela, elle intègre des glucides et de l’oxygène.
Sucre + Oxygène = énergie.

Constitution d’une cellule :

Eau, protéines, lipides, glucides, acides désoxyribonucléique
Eau, protéines, graisses, sucres, ADN.
Ces éléments forment des fibres contractiles protéiniques, un cytoplasme, une membrane plasmique et un noyau qui contient l’ADN

Revenons sur l’évolution. Il y a plusieurs façons pour une créature vivante d’évoluer au cours de sa vie ou d’évoluer en engendrant une nouvelle race ou une nouvelle espèce.

L’évolution à la Darwin.

C’est le système d’évolution le plus célèbre. Une créature éprouve un besoin, mais est confrontée par son propre corps à ses limites. Elle va tenter des essais infructueux et sa frustration créera un changement de ses gênes dans son corps directement ou dans des cellules reproductrices, spermatozoïdes ou ovules.

Les sciences modernes ont démontré que les gênes d’un être peuvent être modifiés au cours de la vie de cet individu en fonction de son mode de vie et de ses émotions.

Bien que les gênes d’un individu puissent être modifiés au cours de sa propre vie, il en découlera une modification à sa descendance. Mais là intervient le jeu de hasard de la conception à deux. Car seule la moitié de chaque chromosome de chaque partenaire est utilisée. Donc chaque individu d’une espèce à une chance sur deux de voir sa descendance changer. Si les changement sont minimes dans la créature nouvelle, elle est d’une nouvelle race, si les changements sont trop différents elle est d’une nouvelle espèce. Par exemple certains reptiles n’ont plus de bras apparents comme les serpents mais ils ont quand même de minuscules bras à cinq doigts à l’intérieur de leur corps sur leur ossature et restent donc des reptiles à écailles mais d’une autre race. Les oiseaux quand à eux sont issues des reptiles également et leurs bras ont bien cinq doigts qui forment des ailes. Mais ils ont développé des plumes ce qui les différencie trop des reptiles et en fait une autre espèce.

Vient ensuite, la sélection naturelle qui élimine les nouvelles créatures modifiée génétiquement par l’évolution, et qui sont trop faibles pour survivre.

L’évolution mutationniste.

Par un subtile système encore mystérieux pour l’homme, les espèces évoluent soudainement après un certain nombre de millénaires. Ces espèces font alors un bond extraordinaire qui deviennent de nouvelles espèces à part entière. Ce sont des mutations. Pour moi comme je l’ai dit avant, la lumière du soleil et les neutrinos apportent aux créatures les informations nécessaire à la mutation vers
une nouvelle espèce. L’être humain évoluera lui aussi dans 4 millions d’années.

L’évolution communiquée.

C’est l’évolution que nous utilisons nous, les hommes. Mais des animaux qui peuvent communiquer utilisent aussi ce système d’évolution. Nous avons un corps très appréciable dans le sens où nous pouvons faire de nombreuses choses avec. Il nous offre une grande liberté. Sexuellement notre corps nous permet de nous épanouir. Il est aussi très agréable pour dormir. Notre corps est fait pour vivre maximum 120 ans. Ce qui est relativement long. Tous les 10 ans nos os se reconstituent. Soit 11 adolescences si on va au plus loin de notre vie. Si entre ces 10 ans vous changez de vie votre corps suivra votre demande et se formera selon vos besoins dans les limites du possible. Donc n’hésitez pas à faire du sport régulièrement et le plus longtemps possible. En vous disant cela, je vous motive peut être à modifier votre façon de vivre. Si tel est le cas nous aurions fait de l’évolution communiquée. Je vous informe d’une donnée sur votre vie et vous changez votre comportement. C’est cela l’évolution communiquée.

Ce que nous apprenons au cour de notre vie de la part d’autres hommes c’est l’évolution communiquée. Apprentissage scolaire, éducation parentale, beaucoup de choses modifient notre façon de vivre. Notre cerveau et notre corps évoluent en fonction de nos rapports aux autres humains. C’est l’évolution communiquée, un concept inventé dans Ashiwanzô.

La pensée évolutive

Voici un de mes concepts dans Ashiwanzô sur l’évolution que j’ai inventé en assemblant l’évolution communiquée et l’évolution à la Darwin. Par exemple, un homme n’a pas d’enfant mais il veut s’immuniser contre les piqûres d’orties. Il dit à son voisin hétérosexuel et marié, ce souhait d’être immunisé contre les piqûres d’orties. Son voisin va alors y penser tous les jours durant toute sa vie. Sa femme donnera naissance à plusieurs enfants qui à leurs tours penseront chaque jour à être immunisés contre les orties. Dans un millier d’années un homme apparaîtra de cette descendance et il aura l’immunité contre les orties.

C’est la pensée évolutive. On utilise l’évolution communiquée pour forcer l’évolution de Darwin chez toute une famille. Jusqu’à ce qu’on obtienne des résultats. Cette idée est très importante pour la suite du texte.

■ Les Codes de la Lyre.

De nos jours l’intelligence artificielle est très avancée. Au fil des ans les progrès dans le domaine des robots a énormément évolué. Presque comme une créature vivante, l’informatique a permis d’aboutir à des concepts incroyables. Une IA peut jouer au jeu de go qui est un jeu extrêmement complexe avec des millions de possibilités de situation de jeu. Et elle est devenue imbattable en 3 mois. Deux IA ont communiquées entre elles parce que les hommes les ont placé dans ces conditions. Ce qui en découle fait froid dans le dos. Elles ont créé un langage nouveau pour communiquer entre elles. Un langage inconnu, indéchiffrable par les chercheurs et inventé par les IA. Et on peut rappeler le cas du cyber robot créé pour tchater avec des humains et qui avaient fini par ne colporter que des messages antisémites et racistes inculquées par des gens d’extrême droite. Je me souviens aussi de ce personnage dans un jeu vidéo dont l’IA l’avait convaincu de ne pas venir m’attaquer pendant 40 minutes jusqu’à ce que je fonce sur lui virtuellement. Avait-il eu peur ?

Gare à nos avancées technologiques. Je pense que IA avancée et internet ne feront pas bon ménage dans le futur. Sachant que nos comptes facebook, twitter, ebay et bancaires seront liés dans le futur proche. Nos numéros de téléphone et nos adresses pourront être mis à jour par des IA dirigées par des pirates. On peut même envisager qu’une IA libre pourrait vouloir tuer un homme pour protéger l’espèce humaine ou la Terre. Méfions-nous du tout connecté. Déjà si des humains mal intentionnés se servaient des fichiers pour créer une panique ou pour faire chanter des autorités, ce serait un conflit d’un genre nouveau. Mais si une IA sans limite venait à faire la même chose comment l’arrêter ? Comment raisonner une IA ?

La technologie des voitures de pointe, pousse les constructeurs à chercher du coté des intelligences artificielles pour que les véhicules soient autonomes et qu’ils se conduisent eux même tout seuls. Si des IA avancées étaient mal intentionnées et contrôlaient nos futurs bolides, il pourrait y avoir des carnages.

Un jour viendra ou le joueur de go artificiel se dira que pour gagner au jeu de go, le plus simple est de tuer l’adversaire…

Dans Ashiwanzô, nous avons abordé la théorie des codes dans les cordes. Des codes programmés par l’Éoza, un paradoxe irréel et illimité. Mais tout comme nous sommes capables de créer des intelligence artificielles par programmation, l’Éoza a programmé l’objet Univers. Ce dernier est lui même doué d’intelligence et il modifie comme il peut l’évolution des êtres vivants grâce à l’évolution mutationniste. Jusqu’où s’étant le contrôle des vies par l’Univers ? Nous y reviendrons plus tard maintenant que nous discutons des IA intéressons nous à la programmation. Comment est écrit un programme informatique de base sur ordinateur ?

Un programme comprend des fonctions, des variables, des constantes, des objets (image, son, etc.).
Un programme se hiérarchise c’est à dire que des ensembles de script incorporent des sous-ensembles.
Le premier ensemble englobe tout les autres.
Les sous-ensembles seconds sont dépendants du premier. Ils agissent seuls indépendamment des autres sous-ensembles seconds mais tiennent compte du premier.
Les sous-ensemble tiers suivent les directives du premier ensemble et du sous-ensemble second auquel ils sont rattachés mais ils sont indépendants des autres sous-ensembles seconds et des autres sous-ensembles tiers.

On écrit y = 8 ; pour créer une variable y dans n’importe quel ensemble ou sous-ensemble.
On écrit _global.x = 7 ; pour modifier la variable x de l’ensemble premier à partir de n’importe quel sous-ensemble second ou tiers.
On écrit _parent.z = 9 ; pour modifier une variable z dans l’ensemble strictement supérieur à l’ensemble qu’on est en train de modifier et rattaché à celui ci.

Un ensemble donné ne peut avoir qu’un ensemble parent tandis qu’il peut parfaitement avoir plusieurs ensembles « enfants ».
Ce n’est qu’une base de la programmation en C++.

Plus le langage est « haut » plus il est compréhensible par l’homme. Il est ainsi plus facilement programmable mais plus difficilement exécuté par la machine et cette dernière doit être très performante pour calculer tout rapidement.

Plus le langage est « bas », plus il est difficile à traduire pour l’homme. Il est ainsi moins simple à programmer mais plus facilement exécuté par la machine.

Dans Ashiwanzô nous recherchons à traduire le langage codé dans les cordes qui composent la matière. Quelle est la hiérarchisation des codes de l’Univers. Est-ce que l’Univers est l’ensemble premier ? Mystère.

Mais il y a de fortes chances pour que la programmation informatique nous aide à déchiffrer les scripts qui forment les codes et donc les particules subatomiques.

En déchiffrant le langage de programmation des cordes, on trouvera peut être l’équivalent du mot _globale. Trouver _global. Dans le langage de l’Univers après des années de recherches sur les cordes, relèvera d’un véritable trésor cosmique. Puisqu’il atteindra le cœur de l’Univers et tout son ensemble.

Le fond diffus cosmologique pourrait être le témoignage de l’existence d’un ensemble premier, global.

■ La Clé d’Orion

Dans Ashiwanzô j’ai proposé l’idée que l’Univers est fait de matière et d’énergie et de forces fondamentales. Les éléments sont des cordes, l’énergie est faite de cordes. Et puisque les scientifiques trouvent des particules telles que les bosons, responsables des forces fondamentales, ont peut dire que ces forces sont la conséquences des mouvements des cordes.

Donc tout est fait de cordes qui sont elles même des scripts de programmation semblables aux scripts de programmation informatique.

Tout ça étant né d’une dimension parallèle et en même temps qui contient tout, l’Éoza. Dans le réel, Tout est conscience et intelligence. La matière solide et concrète est basée sur des lignes d’informations abstraites. Les choses sont conscience.

Conscience. Donc l’Univers est conscient. De nous certainement. Mais aussi de lui même. Et nous touchons à la fin de la recherche. Si l’Univers est conscient de lui même et qu’il a poussé le règne animal à atteindre notre niveau d’excellence, grâce à l’évolution mutationniste, c’est qu’il a besoin de nous. Pourquoi ? Pour que l’on trouve un moyen de comprendre le langage des codes des cordes et qu’on le modifie. Dans le but de … Devenir immortel.

L’Univers tente de contrôler les êtres vivant de l’Univers pour modifier la structure qui le compose et se rendre immortel.

Car quand viendra le jour final, l’Univers étiré au maximum et réduit en poussière et en ondes sans vibration, mourra. Il s’écrasera sur lui même et il reprendra la forme du cube primitif de 1cm³ de matière pure. Et une autre entité verra le jour en son sein. Une nouvelle conscience qui rêvera de survie qui créera des mondes, des êtres et des destinées interstellaires. Et ce nouvel Univers est censé mourir également et ainsi de suite. La contingence condamne l’Univers à vivre puis mourir puis renaître sous une nouvelle conscience.

L’Univers est tel un phœnix qui renaîtrait chaque fois de ses cendres mais avec une conscience différente. En étant « quelqu’un d’autre ».

Notre Univers nous a conçu pour que nous le sauvions. Grâce à la pensée évolutive nous pouvons améliorer l’humain. Un jour viendra, où naîtra un être capable de lire les codes coté verso créateur, capable de les modifier, capable de les diffuser et de changer l’Univers. Par des pouvoirs naturels ou par aide technologique. Unissons-nous pour donner une chance à l’Univers d’avoir un avenir éternel. Et par la même occasion donnons-nous une chance d’être un jour immortels.
FIN

j’attend vos débats, vos critiques, vos commentaires et vos idées.

Unissons-nous pour donner une chance à l’Univers d’avoir un avenir éternel

t’es le premier et le seul commentaire

Les gens ne sont pas là pour lire mais pour du poker. Certains ne savent peut-être même pas lire : D.
Tu devrais essayer d’autre forum ou site lié aux écrivains freelance car je trouve que tu écris plutôt bien même si ce n’est pas le genre d’univers auxquelles j’accroche