« Ai-je perdu, gagné, bien joué, progressé ? » Telles sont les inévitables questions qu’un joueur de poker se pose lorsqu’il jette un œil dans le rétroviseur pour passer au crible l’année qui vient de s’écouler. Et pour Davidi « Kitbul » Kitai, les résultats ne sont pas au rendez-vous.
Si le total des gains peut paraître plus qu’honorable, il s’agit pour moi d’une année perdante : mes gains ne couvrent pas le total de mes buy-in. Je fréquente le circuit des tournois internationaux depuis onze ans et c’est ma deuxième année perdante.
J’ai toujours dit qu’il était nul ! Un mec qui réféchit des plombes pour toujours call tout ça pour pas passer pour une CS et qui dit « houit » à la place de « huit » ne peut pas être gagnant à ce jeu.
Davidi pourra tjrs se consoler en se disant qu’il n’est pas seul perdant !!!
mais meilleure année à lui quand même
et trouver la femme de sa vie, ça vaut tous les tournois du monde nan?
"Ai-je perdu, gagné, bien joué, progressé ?" Telles sont les inévitables questions qu'un joueur de poker se pose lorsqu'il jette un œil dans le rétroviseur pour passer au crible l'année qui vient de s'écouler. Et pour Davidi "Kitbul" Kitai, les résultats ne sont pas au rendez-vous.
Si le total des gains peut paraître plus qu’honorable, il s’agit pour moi d’une année perdante : mes gains ne couvrent pas le total de mes buy-in. Je fréquente le circuit des tournois internationaux depuis onze ans et c’est ma deuxième année perdante.
"Ai-je perdu, gagné, bien joué, progressé ?" Telles sont les inévitables questions qu'un joueur de poker se pose lorsqu'il jette un œil dans le rétroviseur pour passer au crible l'année qui vient de s'écouler. Et pour Davidi "Kitbul" Kitai, les résultats ne sont pas au rendez-vous.
Si le total des gains peut paraître plus qu’honorable, il s’agit pour moi d’une année perdante : mes gains ne couvrent pas le total de mes buy-in. Je fréquente le circuit des tournois internationaux depuis onze ans et c’est ma deuxième année perdante.
"Ai-je perdu, gagné, bien joué, progressé ?" Telles sont les inévitables questions qu'un joueur de poker se pose lorsqu'il jette un œil dans le rétroviseur pour passer au crible l'année qui vient de s'écouler. Et pour Davidi "Kitbul" Kitai, les résultats ne sont pas au rendez-vous.
Si le total des gains peut paraître plus qu’honorable, il s’agit pour moi d’une année perdante : mes gains ne couvrent pas le total de mes buy-in. Je fréquente le circuit des tournois internationaux depuis onze ans et c’est ma deuxième année perdante.
"Ai-je perdu, gagné, bien joué, progressé ?" Telles sont les inévitables questions qu'un joueur de poker se pose lorsqu'il jette un œil dans le rétroviseur pour passer au crible l'année qui vient de s'écouler. Et pour Davidi "Kitbul" Kitai, les résultats ne sont pas au rendez-vous.
Si le total des gains peut paraître plus qu’honorable, il s’agit pour moi d’une année perdante : mes gains ne couvrent pas le total de mes buy-in. Je fréquente le circuit des tournois internationaux depuis onze ans et c’est ma deuxième année perdante.